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Blog de Djeson

8 juin 2009

http://blog.idoo.com/gibii-reponse

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8 juin 2009

CURRICULUM VITAE FORMATION 2008/2009 : 3e

 

CURRICULUM VITAE

FORMATION

2008/2009 : 3e Découvert Professioninstallation de radiateursnelle

Collège Jean Jaurès à Pantin (93) (actuellement)

2007/2008 : 4e générale

Collège Jean Jaurès à Pantin

EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

Du 9 au 20 mars 2009 : Artisan Plombier à Saint-Denis (93)

  • Installation de radiateurs

  • Installation de WC

  • Installation chaudières

  • Installation PVC

  • Vérification de la plomberie chez les clients 

Du 17 au 21 novembre 2008: Bati - Espace à  Aubervilliers (93)

  • Installation de radiateurs

  • Peinture en bâtiment

  • Installation de radiateurs

  • Ponçage des mures

     

DIVERS

Maîtrise des logiciels : Internet, Word, Excel.

Langues : Allemand niveau scolaire, Anglais niveau scolaire, Portugais notion, Néerlandais notion, Espagnol niveau scolaire.

Loisirs : Danse Hip-Hop, Break-danse, Foot-ball, Natation, Basket-ball,  Athlétisme, Cinéma, Lecture, Voyage.

8 juin 2009

Présentation Crim’expo se présente comme un défi

Présentation

Crim’expo se présente comme un défi lancé au jeune public : il s’agit de prélever des indices pour reconstruire le scénario d’un crime. Au passage, on découvre quels sont les applications de la science aux affaires criminelles. Les élèves de 3ème 5 du collège Jean Jaurès ont visité cette exposition. Ils ont probablement révisé leurs positions sur les représentations invraisemblables que de nombreuses séries télévisées donnent de l’usage des techniques modernes d’investigation.

Au-delà de l’aspect technique des choses, ce qui nous a intéressé, c’est la démarche que suppose et le travail de la police scientifique et l’exposition Crim’expo telle qu’elle a été conçue. En effet, il s’agit à chaque fois de prélever différents indices, de les rassembler et de voir comment on peut les regrouper en faisceau, de telle sorte qu’ils puissent fonder une hypothèse crédible d’explication des faits épars observés. D’hypothèse en hypothèse, on progresse dans une enquête criminelle. Ce qui constituera la vérité finale n’est alors que l’hypothèse qui permet de rendre compte du plus grand nombre d’indices. Finalement, lorsque l’on chemine d’une scène de crime vers une hypothèse d’explication, on ne retrouve jamais ce qui a pu précisément se passer, tout au plus reconstruit-on un scénario vraisemblable.

Ce sont les mêmes processus qui sont en jeu dans la lecture. Un lecteur prélève des indices dans un texte ; de ces indices, il tire des hypothèses. Lire, c’est donc mener une enquête. Souvent, lecteurs experts que nous sommes, nous n’avons pas conscience de ce processus. Mais avec le récit policier, l’activité du lecteur réapparaît de façon explicite : nous vous proposons donc de mener l’enquête avec le récit produit par les élèves de 3ème 5. Il s’agira alors de répondre à cette simple question : qui est le meurtrier ?

En lecteur bienveillant, capable aussi de passer sur les inconséquences et approximations du texte, il faudra se défier des fausses évidences, savoir suivre les pistes les plus invraisemblables. Et surtout, ne pas oublier que si en matière criminelle, une seule vérité doit finalement s’imposer, quand il est question de lecture et d’interprétation, seule compte la sagacité d’un lecteur-enquêteur, sagacité qui doit s’exercer avec rigueur et imagination. Autrement dit, tout est possible…

Cette journée commençait par un déplacement chez le directeur de la Police Judiciaire de Versailles. La Police Scientifique de Versailles était enfin sur les lieux : James Brolick, enquêteur, avait insisté pour se charger de cette affaire, car il était un ami de la famille du directeur.

Dans une cave, pas n'importe laquelle, dans celle du directeur de la police scientifique, se trouvait un chien. Pas n'importe lequel : celui de la fille du directeur de la police scientifique. Il gisait dans son propre sang, étalé par terre sur le ventre.

Le chien se nommait Dadou, c'était un pitt bull, âgé de 13 ans, il vivait avec la famille Lebon depuis l'âge de 10 ans. Il était blanc, gros, avec la queue coupée, il avait une grosse tache noire sur l'œil droit. Il était plutôt « bavard » car il n'arrêtait pas d'aboyer la nuit et cela agaçait les voisins.

Brolick retrouva trois cartouches de balles de pistolet 9 mm magnum dont une, en plein milieu du ventre du chien. Le corps du chien n’avait pas été bougé, il devait être en train de dormir lorsque le tueur était entré discrètement. C'était en descendant à la cave que Madame Lebon avait découvert le cadavre devant les vélos cassés de sa fille.

Juste à côté, sur un bureau rempli de paperasse, avait été laissée une arme. L'arme du crime pensa l'enquêteur. C'était la même que le directeur, exactement ! Il la mit dans un sachet en plastique pour l'analyser au labo.

Les traces de pas à côté du chien furent analysées, mesurées. On retrouva une lentille de contact. Cette lentille sera analysée, elle aussi.

Le premier suspect était le directeur. Pourquoi ? Parce que c'était son arme, et que le crime avait eu lieu chez lui.

Brolick l'interrogea  :

« -Où étais-tu à l'heure du crime ?

- Pourquoi ? Tu m'accuses ? bégaya le directeur.

- Non, mais c'est mon travail, je dois te questionner... répondit l'inspecteur en le regardant.

- Mais tu sais que je suis innocent ! lâcha Lebon.

- On a retrouvé ton arme sur les lieux du crime...

- C'est bizarre, je l'avais laissée dans mon tiroir qui était fermé à clé, et la clé se trouvait sur mon bahut ...»

Le directeur s'énerva et refusa de répondre aux questions; son téléphone sonna, il répondit : « Allo...oui… oui… le prisonnier que j'avais mis en prison… ça fait deux ans… Quoi!!! Il a été libéré le jour du crime ?!? ok »

Le directeur de la P.J. raccrocha et se tourna vers l'inspecteur:

« - C'est fini? Je suis en train de t'interroger et tu réponds au téléphone !

- C'était un appel très important…répondit le directeur d'un ton énervé.

- Et à quoi ça va nous avancer dans notre enquête? ça nous fait perdre du temps!! »

Le directeur restait immobile, sans voix. Il était pâle. Il prenait conscience des événements, car toutes les preuves étaient contre lui, l'arme était à lui et puis le crime avait eu lieu chez lui. Il ne savait plus quoi dire pour prouver son innocence. Il murmura :

« - James ! Tu me crois toi, hein ?

- Il n'y a que tes empreintes sur l'arme et en plus c'est ton arme, pourquoi as-tu fait ça, t’as pensé à ta fille ?

- Je suis innocent, je lui ai moi-même offert ce chien, je ne vois pas pourquoi je le tuerais.

- On retrouve ton arme sur des paperasses, l'arme du crime ! Des traces de pas près du cadavre du chien...

- Mon arme c'est mon arme, je m'en sers quasiment tout les jours, donc c'est un peu normal que mes empreintes soient dessus, mais les traces de pas ne sont pas de ma pointure, de même que le contour de mes chaussures ne correspond pas aux chaussures qui sont sur la scène du crime !

- Pour l'arme, je peux rien y faire; mais je peux toujours essayer de savoir de qui proviennent les traces de pas. Est-ce que tu as des ennemis ? Qui pourrait bien t'en vouloir à ce point ? Faire subir ça à ta famille ?

- J'en sais rien... Il paraît qu'un ex-détenu que j'ai arrêté il y a longtemps rôde dans les parages. C'est le premier suspect qui me vient à l'esprit…

- Merci pour l'info. Mais une dernière question : pourquoi c'est ton arme qui a servi à tuer le chien ? Et pourquoi dans ta maison ?

- J'en sais rien, je suis au même point que toi...

- Sûrement quelqu'un que tu connais pour qu'il ait pu s'introduire chez toi sans que personne ne le remarque. D’autant plus qu’on a trouvé une lentille sur le lieu du crime, à ce que je sache personne n’en porte dans ta famille n'est ce pas ?

- Bien évidemment que personne n’en porte. Je prends très au sérieux cette enquête, car elle touche énormément ma famille et je ne tolérerai pas que le criminel s’en sorte indemne…

- Bien. Merci pour ta collaboration je vais faire de mon mieux, mais comme dit la procédure, je dois te demander de ne pas quitter le secteur… Si ça avance je te tiendrai au courant.»

Brolick se demandait toujours si le directeur n'était pas impliqué dans l'affaire. L'ex-prisonnier était également suspect.

Il rentra au bureau pour réfléchir. Il chercha l'adresse de l'ex-prisonnier, la trouva et décida d'aller lui poser des questions. Il y alla en vélo pour pouvoir prendre l'air. Il s'arrêta devant le numéro 11 de la rue de l'Indépendance américaine, posa son vélo, sonna à la porte. Un homme, grand, les cheveux blonds et les yeux marron, les bras tatoués, vint ouvrir. Le commissaire dit:

« - Vous êtes bien Victor Delacroix?

- Oui, répondit l'homme, étonné. »

Brolick lui dit qu'il avait des questions à lui poser à propos du meurtre du chien de la fille du directeur de la police scientifique. Et l'ex-prisonnier répondit : « Allez-y, posez vos questions qu'on en finisse. Vite fait, bien fait. 

- Où étiez-vous la vieille du crime?

- Je traînais, pourquoi?

- Pourquoi ? Parce que le chien du directeur a été tué

- Et?

- On vous soupçonne!

- Mais, j'ai rien fait !

- Que faisiez-vous alors devant la maison du directeur à l'heure du crime?

- Je prenais l'air…

- D'accord, vous resterez en garde à vue jusqu'à ce que l'on analyse les empreintes. »

Brolick envoya les empreintes au laboratoire. Et 48h plus tard, il reçut les résultats.

Il appela le directeur et lui demanda de venir : « J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer. Les traces de pas autour du chien ont été analysées : ce ne sont pas les tiennes. Par contre, elles correspondent au pas de Victor Delacroix. »

Le lendemain, Brolick interrogea le Directeur et sa femme pour savoir s'ils n'avaient pas entendu un bruit suspect pendant la nuit. Ils n'avaient rien entendu. Puis, Brolick décida d'aller interroger les voisins. Arrivé sur place, il sonna à la porte, M. Dubois, surpris, ouvrit la porte. Ce dernier demanda à l'inspecteur ce qui se passait. Brolick répondit qu'il avait quelques questions à lui poser à propos du chien des voisins. M. Dubois invita Brolick à entrer.

« - Je vous écoute Inspecteur. » répondit Dubois en s'asseyant sur son fauteuil. L'inspecteur remarqua que la voisine ne pouvait pas beaucoup marcher parce qu'elle portait un plâtre, elle était tombée accidentellement de son vélo la semaine précédente. Le voisin, quant à lui, portait des lunettes de myope.

« - Donc, monsieur Dubois, que savez-vous sur Dadou, le chien de monsieur Lebon ? »

- Ben, le chien de monsieur Lebon est un chien merveilleux, c'est bien que leur fille ait un animal de compagnie. Il aboie beaucoup plus le soir, je ne peux dire pourquoi. Il aboie après quelque chose ou quelqu'un, mais je n'en sais pas plus.

- Avez-vous vu quelque chose de suspect au cours des derniers jours ?

- Et bien. . . Il aboie lorsqu'il ne connaît pas la personne, c'était ce que l'on avait vécu ma famille et moi lorsque nous nous sommes installés...»

-Avez-vous vu quelqu'un entrer dans la propriété de monsieur Lebon, il y a trois jours de là ?

- Non je n'ai vu personne entrer dans la propriété de monsieur Lebon, mis à par un homme blond

- Pouvez-vous me décrire cet homme ? demanda l'inspecteur, sortant un calepin ainsi qu'un crayon de papier pour prendre des notes.

Monsieur Dubois répondit qu'il était mince et grand à la fois avec une fine silhouette.

« - Avez-vous entendu du bruit la veille du crime ? reprit Brolick.

« - Oui, en sortant les poubelles, j'ai entendu des gens rire. J'ai d'abord pensé que c'était monsieur le Directeur et sa femme, mais lorsque j'ai vu un homme blond sortir de chez le directeur, je suis directement rentré chez moi. » L'inspecteur le remercia d'avoir répondu à ses questions, salua le couple et sortit. Il démarra sa voiture, et se mit à penser.

Par la suite, il essaya de rechercher l'ex-prisonnier; il était introuvable, c'est sûr qu'en sortant de prison. . . Brolick lança une alerte: toute personne ayant vu l'individu devait se faire connaître à la police judiciaire de Versailles.

Pendant ce temps-là, Julie Lebon alla chercher le courrier et le rapporta à son père. Parmi toutes ces lettres, il y avait des factures, des prospectus et une lettre sans expéditeur, il l'ouvrit, et lut : « tuer ton chien était une menace, la prochaine fois ce sera ton tour. Ne montre cette lettre à personne, sinon tu te mets en danger. » Des lettres découpées dans du journal, collées soigneusement sur la feuille, sans trace d'empreinte dansaient devant les yeux du directeur qui était effrayé. Il appela son ami, l'inspecteur Brolick et partagea cette lettre avec lui. Ce dernier prit la lettre pour l'analyser au laboratoire. Le lendemain, l'inspecteur réussit à mettre la main sur l'ex-prisonnier qui voulait quitter le pays, pour recommencer une nouvelle vie. Il fut interrogé, puis la P.J. fouilla même ses bagages pour voir s'ils découvriraient quelque chose de suspect. N'ayant rien trouvé, l’équipe alla perquisitionner chez lui mais sans succès. Il fut donc remis en liberté car il n'y avait pas de preuve contre lui mais il ne devait pas quitter le pays.

Comme l'enquête tournait trop en rond, James décida d'interroger la petite fille.

Il demanda à voir la fille du directeur, ce dernier se fit escorter avec sa fille jusqu'à James :

«  - James, pourquoi as-tu besoin d'interroger Julie ? dit le directeur en tremblant des mains.

- J'ai juste besoin de lui poser quelques questions, ça sera pas long!

Il interrogea la petite dans une pièce à part:

«  - Ça va Julie? Tu n'es pas trop triste?

- Dabou… il me manque.

- Oui, c'est normal, tu tenais à lui.

- Oui beaucoup.

- Ok, tu ne sais pas s’il y a quelqu'un qui n'aimait pas ton chien?

- Les voisins ne l'aiment pas trop.

- Quelques nuits avant ce drame, tu n'as rien vu ou entendu d'anormal ?

- Rien du tout.

- Les voisins m’ont dit que souvent le soir le chien se mettait à aboyer contre quelque chose ou quelqu'un. Tu sais pourquoi?

- Des fois, il aboyait quand je jouais avec lui, mais quand j' étais dans ma chambre et que Mike venait nous voir, j' entendais Dabou lui aboyer dessus.

- C' est qui Mike?

- Mike c'est un ami de maman.

- … et il venait souvent vous voir?

- Bah, souvent quand papa travaille il vient voir maman.

- Je te remercie Julie, on va aller voir ton papa. Une dernière question, est-ce qu'il porte des lentilles ?

-   …, il met des lunettes parfois.

- Merci. »

L'enquêteur nota toutes ses informations : « alors c'est pas lui », pensa-t-il. Il réfléchit longuement et se dit intérieurement : « pourquoi il n’y aurait pas un quatrième suspect ? »

Hypothèses sur le meurtrier : nom et mobile

Indices qui appuient mon hypothèse (citations du texte)

Conclusion : le meurtrier est…………………………………………………………

18 mai 2009

Brolick commença à interroger le directeur. «

Brolick commença à interroger le directeur.

« est-ce que tu as des ennemis ? Qui pourrait bien t'en vouloir à ce point ? Faire subir ça à ta famille ?

  • J'en sais rien... Il paraît qu'un ex-détenu que j'ai arrêté il y a longtemps rôde dans les parages. C'est le premier suspect qui me vient à l'esprit.

  • Merci pour l'info, mais une dernière question : pourquoi c'est ton arme qui a servi à tuer le chien ? Et pourquoi dans ta maison ?

  • J'en sais rien...

  • Sûrement quelqu'un que tu connais pour qu'il ait pu s'introduire chez toi sans que personne ne le remarque. »

    Le directeur resta immobile, sans voix. Il était pâle. Il prenait conscience des événement , car toute

  • les preuve tombes sur lui , l'arme est a lui et puis le crime se passe cher lui .

  • « De temps plus on a trouve une lentille sur le lieu du crime , a se que je sache personne en porte dans la famille n'est ce pas ? «

  • « Bien évidemment que personne en porte , je prend bien sur très au sérieux cette enquête , car elle touche énormément ma famille car je ne tolérerais pas que le criminelle sans sorte indemne «

  • « Bien , merci pour ta compréhension je vais faire de mon mieux mais comme dit la procédure

  • je doit te demande de pas quitte le secteur sur ceux je vais te laisse , prend soin de ta famille et puis si sa avance je te tiendrais au courant .»

  • «merci rentre bien «

  • « OK , et passe le bonjour a ta femme et tes enfants «

Puis il décidai alors d'aller rendre visite aux voisin ,

arriver au pied du palier il sonne

« qui est la ?«

« je me présente l'inspecteur James brolick je mène une enquête sur le meurtre , je vous prix de m'ouvrir s'il vous plait «

27 avril 2009

Vous êtes :[Femme de chambre ( pour les garçons )

Vous êtes :[Femme de chambre ( pour les garçons ) et majordome ( pour les filles ) ] pour une riche familles .

En une page de journal, raconte le vol d'un bijou dont vous étés accuse injustement mais qui risque d'entrainer votre renvoi.

Vous expliquez précisément ce dont ou vous accuse , Vous évoquer les tache quotidiennes qui constituent votre travail et vous dénoncerez la condition des gens de maison.

AUJOURD’HUI, 17 septembre, à trois heures de l’après-midi, par un temps doux, ciel bleu comme l'océan , je suis entrée dans ma nouvelle place parmi d'autre .

C’est la douzième en deux ans.

Bien entendu, je ne parle pas des places que j’ai faites durant les années précédentes. Il me serait impossible de les compter.

Ah! et si je me vanter un peu j’en ai vu des intérieurs et des visages des artiste tel que des chanteuse des danseuse et milliardaire etc ...

comme je disais je n'étais pas seul dans cet demeure luxurieuse , j'ai connu des maison incroyable mais celle-ci était si magnifique que grâce a ces objets d'art ces bijou ces tableau , on pouvais en construire des milliers de demeures de cette envergure .

L'envie de faire ce travail viens des mes arrière grand parant qui mon élever et qui mon enseigner le métier .

Comment ai-je fais pour atterrir ici , ce bien un miracle que ma tante Jody me montre cette famille ci adorable , sa fais bien 6 mois que j'y suis magret ce long mois en commune avec ces employé peu bavard et si étrange et mystérieux etc...

Il y a des rumeur qui dit que y a des personnelle qui on tune façon de rober des diamant et des cargaison de vin etc...

ce bien sur que de rumeur qui circuler ,et bien envidant jan étais en au qu'un cas concerne car je ne voulais en au qu'un cas devenir un hors la lois .

Et sa je le fessais savoir au gens qui m'entourais , malgré sa leurs déplaise , et

ils me le faisaient bien savoir , en me donnant des menasse si je me soumette pas a leur exigence , et comme toujours je ne cédée pas a leur menace .

Et un beau jours on m'accuse d'avoir étais au tété dune grand trafic de vole d'un bijou dune grand valeur depuis 2ans etc,,,

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6 avril 2009

l' océan maudie Ici jack Dolson pages 206 , nous

                                        l' océan maudie

Ici jack Dolson pages 206 , nous somme le vendredi 13 décembre sur le bateau jeanne .

Je pense plus pouvoir avoir la force pour continuer ce journal , car je suis affaiblie et mal en point .

Aujourd'hui je panse qu'il pourrait éventuellement y avoir une tempête dévastent

pour notre jeanne ,car grâce au dommage du gouvernail on pourrait bien sur faire naufrage.

Ainsi comme touts les autre jours ont traverse des moment difficile car nous avons terminer nos resserve d'eau et de nourriture, nous savon si jeanne continue sur cet vois on pourrait échoue sur l'ile du Grenadines .

On ses trouve (au nord : latitude 37° et au sud -59°) , je constante qu'on terminera pas cette escapade sur cette océan perdu , car d' âpre la remuer qui sur culer l'océan étais maudit de temps plus qu'on navigue un vendredi 13 .

j'espérerais avoir la force d'écrire demain et que qu'elle qu'un puise nous venir en aide malgré nos condition de vie .

30 mars 2009

A la manier de R.Gary raconte une raconte lorsque

A la manier de R.Gary raconte une raconte lorsque vous étier enfants qui

été important pour l'enfant que vous étier et dériver pour l'être que vous êtes .

La rencontre amoureuse

Déjà tout jeune a prés que huit ans e demie

dans mon école j'étais assez joueur, coquin , manipulateur, d'ailleurs on m'appelait Samuel le miel des demoiselle etc ... avec les demoiselles qui m'entourais .

Mais il fus un jour ou une jeune demoiselle rentra dans ma classe un beau matin ; la maitresse dit «  bonjour les enfants je vous pressente une nouvelle élevés , elle s'appelle Isabelle , bon j'espère que vous sérier la côtoyé «  a cette instant la me yeux devin tout bleu car le regard qu'elle porte sur moi étais tout simplement innocent .

Jetais pas habituer a ce qu'on m'ignore surtout par une belle demoiselle , un soudain la cloche sonnait il étais l'heur de la recréation , arrive dans la cour recréation

comme j y aller lui faire la cour en lui demandant son prenons , elle me dit que « la maitresse avais déjà dit mon prenons en classe tu n'étais pas la pendant ce moment «  et j'ai dit si mais ta beauté m'avais absenter , et elle répondait a oki ce simpas

23 mars 2009

Commentaire de mon stage Si j'ai un commentaire a

Commentaire de mon stage

Si j'ai un commentaire a faire de mon

stage , pour commence j'ai tout aimer

tout apprécier .

Ce ta dire la communication avec les

gent puis de travaille binôme avec

mon maitre de stage , j'ai apprécier

qu'ils me fasse confiance car j'ai su

démontre qu'on pouvais avoir

confiance a moi .

dans les 4 premier jours j'ai su que ce

métier était fait pour moi , car si je

peu me permettre je trouve que j'ai

touche le métier , car j'ai pu utilise les

matériaux j'ai aimer impressionne

mon maitre de stage par la capacité

de retenir les non des matériaux .

J'ai su prendre des initiative cher les

client puis au téléphone car je penser

pas que j'allais arriver a mes

débrouille seul , car de fois on me

laisser seul dans la boutique.

Et on ma pas teste car de fois il aller

avec un autre apprentie cher des

client

j'ai qu'on se déplace en voiture , et

qu'on installer les chauffe-eaux etc

j'aime ce travaille et je me voit grave

de dans plus tard ,

Mon maitre de stage ma laisse un

chèque puis il ma donne ses

cordonner et je lui est propose d'être

en cap il ma dit qu'il aller y réfléchir .

Puis qu'il me contacterait voila mon

stage c' étais bien déroule pas

d'accident particulier il mon bien

accueilli et puis il son dit qu'il son

apprécie mon travaille et puis voilà.

20 mars 2009

lundi 9 mars : on est partie cher le client pour

lundi 9 mars : on est partie cher le client pour voir ce quil y y avait a faire ou a remplace comme un tuillo , on a pri des note de ce quil avait faire puis il a fallu prendre un acomte ce une sort de garenti pour lintreprise au cas ou le client de decider de annulle puis on est partie ds un forume debatiment ( service de comercial quincaillerie de batiment pour prendrele tuillo a remplace puis on est partie cher le client pour le remplace puis on a pri le cheque et voila .

mardi 10 mars : le patron ma laisse ma journee car il pense quil aller pas avoir de client

mercredi 11 mars : on a passe la journeea poirote dans la boutique car javais pas de client tt lapremidi.

jeudi 12 mars : la encore le patron ma laisse ma journee .

vendredi 13 mars : ce matin on est partie pour change un pvc plastique : un reservoir de chasse en plastique il a fallu le remplace par un autre car il eait trop encien et sa coute au client dans le 900euro on a du tt change car sa uille de partout .

lundi 16 mars : on est partie cher un clien car il avait un probleme avec son levier car il etait tre usse donc on a du les remplace puis doude pour cree des des forme pour sa soi plus soignieu .arrive dans la boutique il ma laisse la boutique car jai su montre quon pouvais avoir confience en moi et en etant seul dans la boutique jai prix des apeles et eu 2 clent rantabe .

mardi 17 mars : on est partie cher un client pour change un vc , on a du tout retire puis le remplase par des autre vc et comme on avais deja le vc dans la voiture on a pas eu besoin daller au forume de batiment et on a pas fait de acomte car on avais tout sur nous on a tout change car il etait tre encien son vc et sa fuillet de partout .  et lapremidi on est partie cher une cliente pour change sa cuvette car il avait trop de calguere , le calguere avait fait trop de dega dans le tuillo de pvcet grace au furre qui a permi de netoyer tout le calguere dans les tuillo on a du tout lave meme le broiyeurde la cuvette .

mercredi 18 mars :ce matin on est par cher un client pour faire un devie ce ta dire voir ce quil clocher cher lui et regarde combien sa va lui coute et puis voila

jeudi 19 mars : on est partie faire une verification de gaz et regarde si evantuelement si il y avait des fuite de gaz car la cliente s'etain plain de l'haudeur de gar sa lui avait rien coute

vendredi 20 mars on a rien fait tout la journee car il y avait pas de client puis on nous a laisse partie plutot par la suite mon maitre de stage ma laisse un cheque puis il ma donne ses cordonner et je lui est proposse detre en cap lanne prochaine il ma dit quil aller y reflechir puis quil me contacterait voila mon stage s'eatais bien deroule pas dacsident particulier il mon bien aceuilli et puis il son dit quil son aprecie mon travaille et puis voila

2 mars 2009

premier

Je commence mon journal ! Mais ai-je seulement réfléchi pourquoi je le faisais ? Pourquoi je commence à écrire ?

Peut être l'envie de pouvoir se confier ! J'avais un besoin d'être dans le droit chemin , ce manque m'a déséquilibré dans ma vie.

Aujourd'hui' hui ,je suis conscient que j'ai pas eu une très bonne attitude envers ceux

qui m'entourent , car seul une femme qui me tient à cœur a su me comprendre car elle

seule a pu , me donner une affection qui, malheureusement, n'a pas pu comblé le

manque dans ma vie .

L'écriture a été ma seule amie, depuis ma tendre enfance , elle a été toujours là pour

moi, quand je me sentais mal dans des moments difficiles de ma vie .

Malgré tout ça, j'ai trouvé quand même des moments très lourds, car je ne voyais pas

tous les efforts que les gens font pour moi, j'ai toujours su qu'il me manque une chose en moi, même les psychologues que j'ai pu fréquentés pendant mon enfance

ont su déterminé que seul lui pouvait combler ce manque en moi , ce manque

indispensable dans ma vie .

D'un simple père au présence de son fils pendant son jeune âge et son évolution

dans sa vie.

Maintenant que j'ai acquis un certain état d'esprit stable,que j'ai appris à faire

confiance à mon entourage et à ouvrir mon cœur et à évacuer la peine qui me hante dans ma vie.

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